Adrien MOUGOUGOU échange avec la diaspora de la Ngounié Sud : consolider les acquis de la Transition par le vote des candidats UDB

Le Professeur Adrien MOUGOUGOU lors de l'échange avec la diaspora de la Ngounié Sud.

Délégué national de l’Union Démocratique des Bâtisseurs (UDB) pour le compte de la Ngounié, le Professeur Adrien MOUGOUGOU a échangé ce mardi 23 septembre 2025 à Arambo avec la diaspora des départements de la Louetsi-Wano, la Louetsi-Bibaka, la Boumi-Louetsi et l’Ogoulou. Cette rencontre avait pour objectif d’interpeller les communautés Massango, Nzébi, Mitsogho et Baoumbou vivant à Libreville sur la nécessité de consolider les acquis de la Transition par le vote des candidats UDB.

Le 12 avril 2025, le président de la République, Chef de l’État, Chef du Gouvernement, Brice Clotaire Oligui Nguema, a été élu à 94,85 % des voix sous la bannière du Rassemblement des Bâtisseurs (RdB). Quelques mois plus tard, en juillet 2025, le RdB devient l’UDB qui, en août 2025, désigne les candidats devant le représenter aux élections législatives et locales. Délégué national de l’UDB pour le compte de la Ngounié, le Professeur Adrien MOUGOUGOU figure parmi les candidats en lice.

L’enjeu de cette élection est de changer la classe politique gabonaise et d’espérer obtenir la majorité à l’Assemblée nationale pour faire asseoir la politique du président de la République et consolider les acquis de la Transition. « Pendant la Transition, on a commencé à solutionner certains problèmes. Mais les grands chantiers doivent être lancés ou consolidés pendant ce premier septennat. Qui dit grands chantiers, dit Parlement qui vote les textes réglementaires qui vont consolider tous les projets initiés par le Gouvernement », a fait savoir le Professeur Adrien MOUGOUGOU, Délégué national UDB pour le compte de la Ngounié.

Partant de cela, l'échéance du 27 septembre 2025, estime le Professeur, revêt une importance capitale, car elle permettra d’élire les hommes et les femmes capables d'agir, d'impulser ou d'accompagner cette nouvelle dynamique, en vue d'un développement harmonieux de nos quatre départements. Dans ce sillage, les départements de la Louetsi-Wano, la Louetsi-Bibaka, la Basse-Louetsi et l’Ogooué ne sont pas en reste. Après plus de 50 ans d’atonie, le représentant de l’UDB dans la Ngounié Sud estime qu’il est temps pour les populations de prendre leur destin en main en accordant leurs suffrages au parti auquel il appartient.

« Au niveau législatif comme au niveau local, nous avons intérêt à voter les listes UDB pour qu'on n'ait pas affaire à des gens qui vont venir faire du chantage », a ajouté le Professeur, mentionnant dans son propos que cette élection est une sorte de test de confiance du président de la République Brice Clotaire Oligui Nguema à l’endroit du peuple gabonais qui, au lendemain de la Transition, a exprimé sa volonté de changer les choses.

Pour le Professeur, les quatre départements de la Ngounié Sud sont plus concernés par cette nécessité de changement, au regard des chantiers en cours. Entre autres : la construction de la route Lébamba-Mbigou-Malinga-Malo, la construction des stations-service à Makongonio et Mbigou, la construction des édifices publics dont l’hôpital, le collège à Makongonio et bien d’autres. À cela s’ajoute la question de décentralisation qui concerne le Gabon tout entier et qui devrait servir de catalyseur au développement local.

« Il faut au Chef de l'État une majorité confortable pour qu'en tant que Chef du Gouvernement, lorsqu’il impulse une politique publique, les textes qui doivent la soutenir soient pris par les deux chambres du Parlement », a conclu le Délégué national UDB pour la Ngounié.